Une baisse de motivation, une baisse de productivité, une anxiété et même une dépression sont les conséquences du stress au travail. Ce fléau est aussi connu sous le nom de burn out. La première étape pour prévenir ce stress est de connaître avec précision l’environnement et l’atmosphère qui règne sur le lieu de travail. Ensuite, vous pourrez entamer d’autres démarches de prévention pour améliorer les conditions de travail de vos employés.
Des séances d’informations pour les employés et les cadres.
Pour prévenir le stress ou l’épuisement professionnel, des séances d’informations sont nécessaires. Les objectifs sont simples, sensibiliser les employés sur le syndrome d’épuisement professionnel, et faire une collecte de données sur leurs plaintes. Ensuite, chaque employé pourra faire une introspection de son état de santé mental au travail. Les cadres de l’entreprise doivent aussi suivre ces séances d’informations, car le burn out ne se manifeste pas uniquement chez les employés. Plusieurs thématiques peuvent être abordées, comme la responsabilité de chaque service dans l’entreprise, ou bien l’environnement et les conditions de travail. Des solutions seront adoptées à la fin de chaque séance d’information, comme la révision de la répartition de tâche, ou l’amélioration des conditions de travail. Pour une prévention efficace, les solutions doivent être stratégiques et ciblées. Elles seront définies en fonction des données obtenues auprès des employés durant les séances d’informations. Pour une prévention efficace, l’aide des spécialistes est nécessaire, vous pourrez les contacter sur burn-outcoach.com.
La communication efficace, un enjeu de taille pour les cadres.
Une mauvaise communication entre les managers et les employés est souvent la cause du stress au travail. Cette mauvaise communication se manifeste par une imposition, un manque d’empathie et même une mauvaise gestion des employés. Pour améliorer la communication dans l’entreprise, un changement de style de management s’impose. Une grande implication des managers est indispensable dans ce domaine. Une communication participative est la première étape dans cette démarche de prévention. Les managers doivent inciter les employés à s’exprimer, même si c’est pour contredire leurs supérieurs. Ainsi, ils peuvent exprimer leurs plaintes, leur mal-être au travail, et même évoquer les signes d’un burnout. Les managers n’auront plus qu’à les écouter, et à agir en fonction des plaintes des employés. Mais la communication efficace ne s’arrête pas sur une écoute active et sur une réaction après. La considération et la reconnaissance sont aussi des piliers de cette forme de communication. Un employé reconnu par ses propres valeurs et accomplissements ne manifestera pas un syndrome d’épuisement professionnel. Cette reconnaissance peut se manifester par des récompenses matérielles, ou bien verbales. La sincérité des supérieures est la clé de réussite de cette démarche.
Une amélioration ciblée des conditions de travail.
Cette amélioration étudie le cas de chaque employé, en fonction de leurs plaintes et de leurs recommandations. Après la collecte de donnée, le service RH de l’entreprise pourra classer les employés selon leurs besoins. Pour certains, ce sera un ajustement de la répartition des tâches en fonction des capacités de chaque employé. Le sentiment de satisfaction et d’épanouissement sera le résultat attendu de cette nouvelle répartition. Si des tâches stressantes existent dans l’entreprise, il faut les supprimer. Il faudra aussi une amélioration des horaires de travail, en fonction de la situation personnelle des employés. Le médecin de travail aura aussi un rôle déterminant dans la prévention du burn out. Tout le monde doit consulter au moins une fois par mois pour prévenir cet épuisement professionnel. Dans certains cas, la pratique d’activité relaxante, comme la méditation ou le yoga est idéale pour se décompresser. Une à deux séances par semaine seront suffisantes pour baisser la tension permanente dans une entreprise.